Derrière cette porte, il se passe toujours quelque chose.
Il faut la pousser pour comprendre.
Uppercut après uppercut, on est sonné par l’onde de créativité.
Un pigeon égayé par un praliné de graines de tournesol : mais comment a-t-il pu avoir cette idée ?
Vincent Crépel est un chef inspiré.
C’est un chef qui a voyagé et cuisiné à l’étranger (en Espagne, en Suisse et à Singapour) et qui continue de voyager pour dénicher et goûter. Et c’est un voyage immobile qu’il nous fait vivre chez Porte 12.
L’Asie n’est jamais loin, le chef s’en inspire beaucoup mais sait aussi s’en défaire :
on passe d’un bouillon de bœuf qui sent le pain d’épices, où nagent des raviolis de bœuf-foie gras et gingembre croustillant au sommet – addictif, cuillère après cuillère – à un millefeuille de carottes au jus de carottes déshydratées.