C’était une première pour nous, on avait entendu beaucoup de belles choses à propos de cette ville, mais en chair et en os, c’est juste génial. Les ruelles sont colorées et animées, les Lisboètes sont sympas, il y a plein de supers spot food, des kiosques typiques sur chaque petites places et zéro nuage à l’horizon : le pied !
Ce qui est génial quand on entre dans un restaurant pour la première fois, c’est que tout est possible : on peut se régaler comme ne pas du tout comprendre où le chef veut aller, on peut trouver ça trop cher, trop bruyant, trop branchouille, pas assez surprenant, j’en passe et des meilleures. On peut avoir lu des critiques, entendu dire que blablabla, mais seul le coup de fourchette tranchera. Cette fois-ci, on n’avait rien entendu et presque rien lu.
Plus de 150 ans au compteur, Maison Pradier régale les estomacs des parisiens à coup de sandwichs dodus, de salades de saison, de tartes aux deux citrons, de viennoiseries et compagnie. Avec une première boutique ouverte en 1859 aux pieds de l’Assemblée Nationale, la pâtisserie de quartier est aujourd’hui devenue grande avec pas moins de 10 maisons à Paris.
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Le lieu est magique depuis plus de 100 ans. Mais les cuisiniers n’ont pourtant pas toujours été les maîtres des lieux : Napoléon III y avait établit sont pavillon de chasse ! Les casseroles ont maintenant remplacé les carabines, et on comprend mieux l’atmosphère d’époque qui se dégage de ces murs remplis d’histoire.
C’est l’été, enfin il est là, ou du moins c’est ce qu’on tente de nous faire croire. Jusqu’ici on a plutôt pris l’apéro à l’intérieur et sous les tonnelles à cause de notre madame météo peu brillante ! Mais ce n’est pas la pluie qui va nous empêcher de prendre l’apéro avec du rosé Dell’ Estate, oh non !
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Créations osées/salées de Nicolas Cloiseau mêlant le chocolat avec le cèpe ou l’oignon l’année dernière ou folle collaboration avec Petrossian pour révéler un chocolat au caviar et un chocolat à la vodka dès la rentrée : assise sur des bases solides, la maison choisi l’audace.
Pour l’été – qui se fait désirer – les boîtes de macarons de l’institution parisienne s’habillent de graphismes vifs et vivants, un peu comme les papiers peints qui s’invitent aux murs des derniers lieux branchés de la capitale. Une bonne dose de couleurs et on se croirait presque en juillet !
Nichée dans une cour secrète au pied de l’église Saint-Roch, à l’écart de toute l’agitation Opéra-parisienne, la terrasse du Lumen ressemble à s’y méprendre aux places de villages du nord de l’Italie – à l’heure de la sieste, quand les rues sont calmes.
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