Le lieu est magique depuis plus de 100 ans. Mais les cuisiniers n’ont pourtant pas toujours été les maîtres des lieux : Napoléon III y avait établit sont pavillon de chasse ! Les casseroles ont maintenant remplacé les carabines, et on comprend mieux l’atmosphère d’époque qui se dégage de ces murs remplis d’histoire.
Créations osées/salées de Nicolas Cloiseau mêlant le chocolat avec le cèpe ou l’oignon l’année dernière ou folle collaboration avec Petrossian pour révéler un chocolat au caviar et un chocolat à la vodka dès la rentrée : assise sur des bases solides, la maison choisi l’audace.
Pour l’été – qui se fait désirer – les boîtes de macarons de l’institution parisienne s’habillent de graphismes vifs et vivants, un peu comme les papiers peints qui s’invitent aux murs des derniers lieux branchés de la capitale. Une bonne dose de couleurs et on se croirait presque en juillet !
Nichée dans une cour secrète au pied de l’église Saint-Roch, à l’écart de toute l’agitation Opéra-parisienne, la terrasse du Lumen ressemble à s’y méprendre aux places de villages du nord de l’Italie – à l’heure de la sieste, quand les rues sont calmes.
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En mai dernier, sous les arbres du Café A et des airs de Hip-Hop, s’est tenue la grande battle des burgers parisiens. Le magazine Paris Burger avait réunit pour l’occasion 5 des meilleurs burgers de la capitale, dont Roomies, Le Camion qui Fume, Le Bar à Burger, Le Réfectoire et Little Baobei.
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Après un voyage au Brésil, Mister Sacha a ramené l’idée des paletas dans ses valises avec l’envie de faire découvrir aux parisiens cet esquimau traditionnel aux fruits frais ou à la crème.
Très populaires au Mexique, mais aussi dans toute l’Amérique latine et maintenant aux Etats-Unis et au Canada, les paletas sont généralement proposées à tous les coins de rue par des vendeurs ambulants.
Mais chez B-Boyz, spot hip-hop à burgers, les stars de la carte sont justement les burgers sans pain. A la place du bun ? un avocat, un gros champignon, une aubergine rôtie, des ramen ou une galette de pomme de terre : ça change et c’est vraiment bon !
On y retourne toujours en sachant que les verres de vin vont trinquer, que l’on va se régaler et que la soirée sera forcément réussie !
